inistre conseiller, Porte-parole de la Présidence et Chef de la cellule digitale, Ousseynou Ly s’est fendu d’un post, mercredi, pour donner son point de vue sur l’affaire Moustapha Diakhaté.
Texte in extenso
Quand on a le courage d’aller au-delà des limites de la liberté d’expression (qui n’autorise ni l’injure, ni l’insulte) on doit également avoir le courage d’assumer la rigueur de la loi (Code pénal) qui sanctionne cet excès.
La Justice qui a sanctionné un militant du parti au pouvoir pour avoir insulté un ancien Président de la République, est la même qui agit contre un homme politique qui injurie un Président de la République en exercice.
Mêmes faits, même Justice, même loi. Rien a changé !
Aucun homme politique responsable ne devrait, au nom de l’adversité, donner carte blanche à une redéfinition, sous nos cieux, de la liberté d’expression par l’insulte, l’injure et la désinformation.
Si vous jugez que ces propos n’ont aucune teneur dégradante ou n’ont aucun caractère offensant, autorisez vos enfants à vous le dire ou à le dire à vos visiteurs ou voisins.
Birama Thior – Senegal7
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