Me Patrick Kabou a vivement réagi au mandat d’arrêt international lancé à l’encontre de Madiambal Diagne. Il a qualifié la réponse de ce dernier comme du « pipi de chat. »
Le texte in extenso
Le sérieux dans un pays est d’être assis à califourchon sur/ dans le droit. Le mandat d’arrêt international contre un chantre de l’argumentaire télévisé et en ligne ( réseaux sociaux) est de droit.
Face à cette logique juridique contre un « fugitif », la réponse de ce dernier concernant le mandat d’arrêt international est du pipi de chat.
La parole d’un « fugitif » ne compte que devant la barre où il exercera son droit et argumentera sa défense, pas sur des réseaux sociaux.
Le droit se fout de quand il revient ou reviendra, le droit a constaté qu’il n’a pas déféré à une convocation et a juste pris acte par des mesures appropriées.
Paris, Banjul, Nouakchott…on s’en fout royalement. La défense n’existe que devant l’accusation et l’accusateur. À l’évidence, ce n’est pas sur les réseaux sociaux qu’il a été convoqué, mais devant une juridiction. Le débat de culpabilité ou non se fera devant cette juridiction.
Facebook et twitter n’ont jamais été les interlocuteurs d’une juridiction sérieuse.
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