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« Le délit d’offense au chef de l’État (art. 254 du code pénal) doit être supprimé », a déclaré Seydi Gassama, soulignant le caractère anachronique de cette disposition légale. Il propose une alternative : « Le Président de la République pourra porter plainte s’il estime être diffamé, injurié ou outragé », invoquant ainsi le droit commun plutôt qu’un régime d’exception.
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Le militant des droits humains a particulièrement dénoncé la sévérité des sanctions prévues : « Les peines de prison pour ces infractions sont disproportionnées et doivent être abandonnées ».Â
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