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Il a rappelé que le respect des ndigëls (enseignements religieux) a toujours été « une source de bénédictions » pour les disciples, soulignant que l’essence des célébrations réside dans la simplicité et la piété, et non dans l’apparat matériel. Â
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Si le khalife a insisté sur la nécessité de rompre avec les excès, il a aussi nuancé son discours en encourageant les hommes à « soutenir leurs épouses dans les tâches du foyer ». « Aider son épouse est une obligation, mais cela ne justifie pas de s’endetter pour impressionner lors d’un baptême ou d’un mariage », a-t-il précisé, évitant ainsi tout malentendu sur les responsabilités familiales. Â
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Serigne Amdy Khady Fall a marqué une désapprobation totale face à la pratique des « ndayalé » (demandes financières excessives liées aux cérébrations). Il a même exhorté ceux qui ont reçu de telles propositions à rendre les sommes perçues pour éviter de compromettre leurs économies. « Ces exigences mondaines n’ont pas leur place dans notre tradition », a-t-il affirmé, appelant à un retour aux valeurs d’humilité et de solidarité. Â
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