Le maire de Rufisque, Omar Cissé, a lancé un appel pressant à l’État du Sénégal pour une mobilisation accrue contre la « forte menace d’érosion côtière » qui fragilise depuis plusieurs années cette commune de la région de Dakar. L’élu s’exprimait mardi à Dakar, lors d’un atelier de l’Initiative pour la résilience en Afrique, un projet mis en œuvre conjointement par la GIZ, la CEDEAO et l’Union africaine.
« Le prochain défi, pour lequel je sollicite l’accompagnement de l’État, c’est la lutte contre l’érosion côtière », a déclaré M. Cissé, qualifiant le phénomène de « problème » et de « défi majeur » pour sa municipalité. L’avancée de la mer à Rufisque a déjà entraîné d’importantes pertes de terres et menace plusieurs zones habitées de la vieille ville.
Le maire a rappelé que « le conseil municipal de Rufisque a beaucoup travaillé sur l’érosion côtière », tout en reconnaissant que les efforts engagés localement restent insuffisants face à l’ampleur du phénomène. « La mairie n’est pas encore parvenue à protéger la ville », a-t-il admis, tout en se félicitant des progrès réalisés dans la gestion des inondations. « La question des inondations a été davantage maîtrisée au cours de ces dernières années », a-t-il assuré.
L’élu espère que la rencontre organisée dans le cadre de l’Initiative pour la résilience en Afrique permettra de « déboucher sur des initiatives concrètes, en mesure d’être financées », afin de répondre efficacement aux défis climatiques et environnementaux auxquels Rufisque est confrontée.
Bien qu’il sollicite l’appui des pouvoirs publics, Omar Cissé affirme que la commune « tente de prendre des initiatives concrètes » pour freiner la dégradation du littoral. Il a par ailleurs signalé que Rufisque fait face à un « déficit d’infrastructures », aggravant la vulnérabilité de la ville aux impacts du changement climatique.
La situation de l’érosion côtière à Rufisque illustre un problème plus large qui touche de nombreuses localités du littoral sénégalais, où la montée des eaux continue d’emporter des habitations, des routes et des espaces économiques. Les collectivités locales, souvent limitées dans leurs moyens, appellent désormais à une réponse coordonnée de l’État et de ses partenaires pour préserver durablement les zones côtières, indique Aps.
« Le prochain défi, pour lequel je sollicite l’accompagnement de l’État, c’est la lutte contre l’érosion côtière », a déclaré M. Cissé, qualifiant le phénomène de « problème » et de « défi majeur » pour sa municipalité. L’avancée de la mer à Rufisque a déjà entraîné d’importantes pertes de terres et menace plusieurs zones habitées de la vieille ville.
Le maire a rappelé que « le conseil municipal de Rufisque a beaucoup travaillé sur l’érosion côtière », tout en reconnaissant que les efforts engagés localement restent insuffisants face à l’ampleur du phénomène. « La mairie n’est pas encore parvenue à protéger la ville », a-t-il admis, tout en se félicitant des progrès réalisés dans la gestion des inondations. « La question des inondations a été davantage maîtrisée au cours de ces dernières années », a-t-il assuré.
L’élu espère que la rencontre organisée dans le cadre de l’Initiative pour la résilience en Afrique permettra de « déboucher sur des initiatives concrètes, en mesure d’être financées », afin de répondre efficacement aux défis climatiques et environnementaux auxquels Rufisque est confrontée.
Bien qu’il sollicite l’appui des pouvoirs publics, Omar Cissé affirme que la commune « tente de prendre des initiatives concrètes » pour freiner la dégradation du littoral. Il a par ailleurs signalé que Rufisque fait face à un « déficit d’infrastructures », aggravant la vulnérabilité de la ville aux impacts du changement climatique.
La situation de l’érosion côtière à Rufisque illustre un problème plus large qui touche de nombreuses localités du littoral sénégalais, où la montée des eaux continue d’emporter des habitations, des routes et des espaces économiques. Les collectivités locales, souvent limitées dans leurs moyens, appellent désormais à une réponse coordonnée de l’État et de ses partenaires pour préserver durablement les zones côtières, indique Aps.
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