La Cellule de communication de Farba Ngom a annoncé l’organisation d’« une marche citoyenne et pacifique » à le 27 septembre, en réaction au rejet de la demande de liberté provisoire introduite par les avocats de Moustapha Diop.
Selon le communiqué, cette décision de la Commission d’instruction de la Haute Cour de Justice, rendue le 19 septembre 2025, « maintient arbitrairement notre camarade et frère en détention », alors que « la Constitution du Sénégal (article 9) et le Code de procédure pénale (articles 127 et 128) consacrent le principe de la présomption d’innocence et la possibilité d’accorder une liberté provisoire ».
Les initiateurs dénoncent « un acharnement judiciaire, contraire aux principes d’équité », et réaffirment leur solidarité avec l’ancien ministre du Développement industriel et des PME, poursuivi dans le cadre de la gestion des fonds Covid.
La cellule appelle « tous les militants et sympathisants à rejoindre massivement la marche prévue à Louga », ainsi que « les jeunes, les femmes et les responsables politiques à faire front commun dans le respect des lois et de la République ».
Placée « sous le signe de la fraternité, de la dignité et de la défense de la justice », la manifestation sera encadrée conformément à la loi n°78-02 du 29 janvier 1978 sur les réunions et manifestations publiques. La cellule appelle à « un sursaut citoyen pour dire non à l’injustice et réaffirmer que nul n’est au-dessus de la loi, mais que nul ne doit non plus être victime de la loi ».
Selon le communiqué, cette décision de la Commission d’instruction de la Haute Cour de Justice, rendue le 19 septembre 2025, « maintient arbitrairement notre camarade et frère en détention », alors que « la Constitution du Sénégal (article 9) et le Code de procédure pénale (articles 127 et 128) consacrent le principe de la présomption d’innocence et la possibilité d’accorder une liberté provisoire ».
Les initiateurs dénoncent « un acharnement judiciaire, contraire aux principes d’équité », et réaffirment leur solidarité avec l’ancien ministre du Développement industriel et des PME, poursuivi dans le cadre de la gestion des fonds Covid.
La cellule appelle « tous les militants et sympathisants à rejoindre massivement la marche prévue à Louga », ainsi que « les jeunes, les femmes et les responsables politiques à faire front commun dans le respect des lois et de la République ».
Placée « sous le signe de la fraternité, de la dignité et de la défense de la justice », la manifestation sera encadrée conformément à la loi n°78-02 du 29 janvier 1978 sur les réunions et manifestations publiques. La cellule appelle à « un sursaut citoyen pour dire non à l’injustice et réaffirmer que nul n’est au-dessus de la loi, mais que nul ne doit non plus être victime de la loi ».
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