Concernant les nouveaux projets, le Premier ministre a indiqué que l’approche devra privilégier, pour le budget d’investissement, les projets ne nécessitant pas de structuration lourde ou complexe, portant dans les domaines notamment du développement humain et de l’équité sociale, de la gouvernance, de la sécurité ainsi que dans le secteur primaire, l’énergie, l’hydraulique, le numérique et les Jeux olympiques de la Jeunesse (JOJ) Dakar 2026.
Pour les projets nécessitant une structuration lourde ou complexe, les dépenses relatives aux prestations intellectuelles y afférentes devront être impérativement inscrites dans la LFR 2025, en perspective du démarrage de leur exécution en 2026.
S’agissant des projets en cours, financés aussi bien sur ressources internes qu’externes, Sonko a rappelé la priorité à accorder aux inscriptions budgétaires destinées au règlement des arriérés sur les prestations déjà effectuées. Il a également exhorté les ministres à procéder à un tri rigoureux des projets à faible taux d’exécution.
Il a aussi insisté sur les concertations à engager avec les partenaires techniques et financiers en vue du réaménagement du portefeuille des projets financés sur ressources extérieures non alignés à l’Agenda national de Transformation et ceux, certes alignés, à considérer désormais comme une composante de nouveaux projets.
Lire l’article original ici.