Ce décompte avant l’élection a été utilisé à maintes reprises par M. Hamad à son premier point de presse en tant que candidat à la mairie de Québec.
L’ancien ministre responsable de la Capitale-Nationale du gouvernement de Jean Charest a convié les médias et plus de 150 personnes au Quai du Cap-Blanc, sur le boulevard Champlain, dimanche avant-midi.
L’ingénieur de formation, qui avait quitté la politique en 2017, entretenait le flou sur son saut en politique municipale depuis mois.
Par le passé, son nom avait circulé comme candidat potentiel, tant à la mairie qu’au fédéral ou au provincial.
En octobre 2024, à un an des élections pour la mairie de Québec, un sondage SOM-Le Soleil révélait que 46 % des répondants affirmaient que Sam Hamad serait un «plutôt bon» ou «très bon» choix comme maire.
Sa position sur le projet de tramway risque d’être au cœur de la campagne où il affrontera le maire sortant Bruno Marchand.
Le chef de Québec d’abord Claude Villeneuve a aussi confirmé qu’il sera de la course tout comme la cheffe de Transition Québec Jackie Smith.
Il y a un mois, Claude Villeneuve avait d’ailleurs exclu de son caucus la conseillère de Robert-Giffard Isabelle Roy après appris qu’elle était «en discussion» avec Sam Hamad.
Équipe priorité Québec a pour sa part annoncé il y a deux semaines que le conseiller Stevens Melançon succédait au chef Patrick Paquet et que des discussions avec Sam Hamad se poursuivait.
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