Les investigations ont permis aux policiers de déverrouiller l’appareil et de contacter le frère de la victime, qui a confirmé le vol. La victime elle-même s’est rendue au commissariat le 20 septembre, où elle a reconnu son téléphone et relaté les circonstances de l’agression dont elle a été victime.
Face aux preuves réunies, les deux mis en cause ont admis les faits. Présentés au parquet, ils devront répondre des accusations « d’association de malfaiteurs et de vol à l’arraché commis de nuit avec usage d’un moyen de transport. »
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