Lors d’une conférence de presse, le ministre a précisé : « Nous ne sommes pas en face d’une maladie de transmission interhumaine. Il faut lever cette équivoque. Il s’agit d’une maladie à la croisée de la santé humaine et animale ». La fièvre de la vallée du Rift est transmise par les moustiques, qui contractent le virus via le bétail, considéré comme « le réservoir » des insectes.
Pour limiter la propagation, un dispositif multisectoriel a été engagé, coordonné entre les différents ministères impliqués dans la riposte à l’épidémie. Ibrahima Sy a insisté sur l’importance des mesures individuelles de prévention, appelant chacun à adopter « les bons comportements ».
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