« L’année dernière, il y a eu beaucoup de difficultés avec des élèves pris en flagrant délit de fraude », a-t-il déclaré devant un parterre d’acteurs éducatifs et administratifs. Selon M. Wellé, le phénomène ne fait que s’amplifier : certains candidats ont déjà été épinglés pour tricherie lors de l’examen blanc cette année, une situation jugée préoccupante à la veille des épreuves officielles.
L’une des principales causes de cette recrudescence est, selon lui, l’avènement des technologies d’intelligence artificielle, qui facilitent désormais l’accès rapide à des contenus illicites en salle d’examen. « Avec l’avènement de l’IA, la tricherie est devenue beaucoup plus facile », a-t-il regretté, soulignant les défis posés par ces outils numériques de plus en plus sophistiqués.
Face à cette situation, le superviseur a appelé à un renforcement urgent du dispositif sécuritaire autour des examens. « Il est impératif d’appliquer rigoureusement les textes en vigueur », a-t-il recommandé, en insistant sur une meilleure vigilance de la part des surveillants et sur la sensibilisation des candidats quant aux conséquences disciplinaires et judiciaires liées à la fraude.
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