Au cours de cette période, le nombre de postes vacants dans les régions de la Capitale-Nationale et de Chaudière-Appalaches a diminué de 3,3 % par rapport au dernier trimestre de 2024.
C’est toutefois la Capitale-Nationale qui enregistre la plus forte baisse, avec 1000 postes de moins (-8,1 %), tandis que la Rive-Sud observe une hausse de 425 postes vacants (+8,1 %). On dénombre actuellement 11 340 postes vacants dans la Capitale-Nationale, contre 5700 en Chaudière-Appalaches.
À titre comparatif, la grande région de Québec comptait 39 790 postes vacants en 2022.
Sur une base annuelle, le recul atteint 19,9 % pour l’ensemble de la grande région. Plus en détail, le nombre de postes vacants a chuté de 25,1 % dans la Capitale-Nationale et de 6,9 % sur la Rive-Sud.
Cette tendance s’inscrit dans un mouvement plus large observé à l’échelle provinciale et nationale, avec des diminutions respectives de 19,3 % au Québec et de 18,1 % au Canada.
Croissance des salaires
Du côté de la demande globale de main-d’œuvre, une progression de 3 % a été enregistrée dans la Capitale-Nationale et de 1 % en Chaudière-Appalaches au premier trimestre de 2025.
Sur une base annuelle, la demande totale combinée dans les deux régions a augmenté de 2,3 %, atteignant 628 505 postes.
D’après les données non désaisonnalisées de Statistique Canada, le salaire horaire moyen offert dans la Capitale-Nationale est passé de 27,65 $ à 28,50 $ en un an. En Chaudière-Appalaches, la hausse atteint 7,1%, avec un salaire moyen passant de 25,90 $ à 27,75 $.
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