Le rappeur fait face à deux plaintes distinctes pour diffamation. La première a été déposée par Mame Boye Diao, leader du parti AARIS, qui accuse Khalifa Rappeur de l’avoir publiquement diffamé.
La seconde plainte émane du banquier sénégalais Moustapha Sow, qui l’accuse de diffamation et de diffusion de fausses nouvelles. Dans une vidéo diffusée sur TikTok, Khalifa Rappeur aurait affirmé que M. Sow avait détourné des fonds publics à hauteur de 100 milliards de francs Cfa, à travers des commissions perçues dans le cadre du Programme spécial de désenclavement (PSD). Des accusations que le banquier qualifie de mensongères, et pour lesquelles, il a décidé de saisir la justice afin de laver son honneur.
L’affaire, qui mêle activisme politique et liberté d’expression en ligne, pourrait relancer le débat sur les limites du discours numérique au Sénégal, notamment en période de forte tension politique.
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